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| Sujet: walk walk fashion baby - W.R. Sam 13 Fév - 13:58 | |
| Wallace G.A. Renwick. Superbi Squalo | Je m'appelle Wallace Renwick, je suis né le 1er octobre 1872 et j'ai 144 ans, mais beaucoup de gens pensent que j'ai 23 ans. Je suis un vampire et je fais partie du clan Brujah. Je suis un gaylord et je suis un asshole. Je suis un civil et je suis d'origine anglaise.
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toi et juste toi Même avant sa transformation, Wallace avait une allure de mannequin. 6’3 de longues jambes, d’une minceur à faire rougir les designers, avec un visage fin au nez droit d’une beauté subtile et masculine. Ses yeux, toutefois, sont ce qui attire réellement l’attention des gens ; si clair qu’ils en semblent transparents, ils recèlent une vague tristesse qui se transforme souvent en indifférence. Sa peau, blanchit et adoucit par sa transformation, garde toutefois quelques cicatrices causées par des maladresses d’enfance. Ses longs cheveux, d’un blond très pâle, en semblent presque gris sous certains éclairages – particulièrement au néon – et lui atteint les reins. Ils sont brillant, en santé ; il en prend visiblement soin. Bien sûr, il a quelques complexes, comme son absence totale de fesses. Il est l’un de ces garçons qui, s’ils ne les faisaient pas ajuster, aurait un fond de pantalon plissé. Il trouve qu’il a de grands pieds, aussi. Cela peut sembler jolie dans de belles chaussures, mais une fois nus ils ne ressemblent qu’a un immense tas d’os. Ses grandes oreilles ne le ravie pas non plus ; s’il n’a pas de boucles d’oreilles pour les décorés, il préfère de loin les garder cachés. Quant à ses mains, il a des sentiments partagés. D’un côté, elles sont grandes et délicates, parfaitement aristocrates, mais il est parfois dérangé par la courbe marquée de ses os.
Là où il n’a aucune crainte ou hésitation, c’est du côté vestimentaire. High fashion, il n’a pas peur de l’excentricité et est prêt à dépenser fort pour des articles de collection. Il est de ces personnes qui portent un immense manteau en fausse fourrure à motif, fumant des petits cigares du bout de ses doigts vernis. Il aime les vêtements ajustés mettant sa taille en valeur, mais il ne rechigne pas à porter des vêtements plus larges. Pleinement prétentieux, même ses t-shirt les plus simples sont signés designer. Il ne craint pas les stéréotypes de genres et s’essai régulièrement au maquillage. S’il évite le rouge à lèvres la plupart du temps – ses lèvres paraissent trop minces à son goût s’ils les délimitent – il est un grand fan des ombres à paupières. Il prend beaucoup de temps pour entretenir ses cheveux et ses dents, brossant et nettoyant quotidiennement. Son sourire aux canines proéminentes est d’un éclat absolu, alors que ses cheveux – toujours bien coiffés, souvent dans des designs compliqués – sont épais et solides.
Wallace est l’exemple type d’un homme à deux faces. Se considérant part de l’élite, il se montre au monde comme un parfait gentleman. Poli, employant trop souvent un vieux langage fleurit, il est charmant et distingué, offrant facilement un sourire éclatant. Soigné, cultivé et mondain, il est un séducteur dans l’âme qui use de ses charmes pour mener les conversations. Sa plus grande hypocrisie, toutefois, se manifeste dans les allures de pacifiste qu’il se donne.
En effet, il ne déroge pas de la personnalité type des membres de la Brujah ; malgré ses grands airs, il entretient des monologues violent à l’intérieur, cherchant à dominer son entourage, réticent aux compromis. Très égoïste, il sert toujours ses intérêts personnels avant ceux des autres. À le côtoyer souvent, la mascarade est rapidement percée et il se montre froid et insensible. Il est extrêmement difficile d’obtenir sa sympathie, mais ce n’est pas impossible. En tant qu’ami, il est une personne hésitante et démontrant une étonnante fragilité.
Il aime tout ce qui est raffiné ou en lien avec le monde de la mode et de la beauté. Il aime le luxe et porte une grande attention à son l’argent. Appréciant la musique et ayant une bonne oreille, il se débrouille assez bien avec un violon, bien qu’il n’ait pris que quelques cours dans sa longue vie. Il a le pouce vert et apprécie l’art tranquille d’entretenir des plantes. Évidemment, il ne démontre aucune gêne quant à ses intérêts. Il y a trop de choses qu’il déteste pour en faire la liste. Il est mieux d’assumer qu’il va détester tout ce qui sort du spectre de sa vie princière.
- Spoiler:
Wallace n’est pas très fier de ses origines et il lui en faudrait beaucoup pour oser en parler. Il préfère faire semblant que ce n’est jamais arrivé et que sa vie a plutôt commencé lors de sa rencontre avec son Sire. Et pourtant, ces souvenirs sont bien réels. Né dans les bas-fonds de Londres, d’un père « bon à rien » selon sa mère, elle-même alcoolique au dernier degré. Vivant dans une maison commune avec d’autres mères célibataires, elle perdit son emploi lorsque Wallace avait 8 ans. Elle dû rejoindre les rangs des autres mères dans les ruelles de la ville, vendant son corps pour picoler. C’est lorsque Wallace eu 13 ans qu’elle disparue, forçant l’une des locataires à expulser l’enfant ; trop de bouches à nourrir, pas assez de revenus. Honnêtement, il ignore comment il s’est retrouvé au brothel. Le froid de l’hiver anglais à mélanger ses souvenirs, et ce n’est que de retour dans la chaleur d’un logement qu’il s’est remis à enregistrer ce qui lui arrivait. Jusqu’à ses 17 ans, ce fût chez lui. Les murs humides, les lits grinçants, l’odeur du musk et de la sueur, le langage grossier et les repas gras partagés dans la minuscule salle à manger, les clients mondains et ceux plus violents et sa chambre donnant vu sur les toits foncés et les nuages de fumés ; c’était peu, mais c’était le seul endroit pour lui.
Évidemment, les relations sexuelles entre hommes étant illégales, il était certain que ça ne pourrait durer. « Cleveland Street Scandal », qu’ils l’ont nommé, dans les journaux. Scotland Yard à embarquer tout le monde, le temps d’obtenir les noms des membres de la clientèle, puis les ont laissés partir avec des sentences mineures.
12£. C’est ce que Wallace devait payer. 12£. Ses patrons disparus, il ne pouvait compter que sur une chose ; les 8£ cachés sous son matelas, dans le brothel. Mais l’endroit était condamné et les policiers montant la garde refusèrent de le laisser entrer. À bout d’exaspération face à ses supplications, il lui ont même asséner quelques coups de matraque pour le pousser à partir. C’est sanguinolent, sanglotant et se traînant les pieds dans une ruelle proche que Wallace rencontra celui qui devait changer sa vie. Charles Frederick J. Renwick. Mystérieux aristocrate, riche voyageur, appréciateur de grand art et Sire de Wallace. Un bel homme pâle, aux cheveux noirs et aux yeux noisettes, portant des vêtements en tissus fin et possédant la plus belle montre à gousset de Fitzrovia. De prendre un inconnu sous son aile et parfaire son éducation ne peut qu’être un acte impulsif, mais c’était dans la nature de cet homme. Du moment où il amena Wallace dans sa résidence principale londonienne, Sire Renwick imposa une stricte discipline ; le garçon de 17 ans dû abandonner son parler de basse classe, modifier sa posture, mieux entretenir sa chevelure, apprendre la bienséance, reconnaître les styles des peintres et, la plus difficile tâche d’entre toutes, apprendre à lire et à écrire. Bien que cela puisse sembler charitable, c’était en réalité une occasion pour Sire Renwick de se moquer régulièrement de son protégé. Lorsqu’il n’était pas en train de suivre l’un des cours de son seigneur, Wallace devait se tenir avec les serviteurs, apprenant aussi à entretenir le manoir. Il mentirait s’il disait qu’il s’était amusé à l’époque, mais, assurément, il était ravi de pouvoir s’affranchir de son ignorance. Il ne pourrait guère dire de bonnes choses de son seigneur non plus, outre qu’il était un amant attentif, car tous autres interactions étaient assez frustrantes. Cette situation de vie inégale dura 6 ans, à la fin desquels ils durent quitter Londres pour la résidence secondaire de son Sire à Nottingham pour commencer un nouveau genre d’éducation. En effet, c’est au bout de 6 ans que son Sire se montra un peu trop confiant et se fit surprendre par Wallace, aux heures les plus sombres de la nuit, en train de se nourrir au cou de leur servante. Si le jeune homme de 23 ans fût, tout d’abord, horrifié, il changea bien vite d’humeur en le suppliant de le transformer. Plus que terrifié, il fût subjugué par la force et le pouvoir qui émane d’un vampire en pleine action. Après un temps de réflexion assez long pour son Sire, mais très court en perspective, il accepta. Durant les 20 années suivantes, Wallace suivit son maître de villes en villes au travers de l’Angleterre, apprenant à contrôler la Bête et ses pouvoirs, explorant les limites de sa nouvelle constitution et jouissant pleinement de sa nouvelle condition. Sans trop se flatter, il vous dira qu’à ce moment de sa vie, il se sentait l’égal de son Sire et c’était probablement le meilleur sentiment dont il a fait l’expérience. Toutefois, ce fût une grande blessure dans son égo, sa fierté et son psyché en général lorsqu’il apprit que l’unique raison pour laquelle Sire Renwick l’eu ramener dans son manoir de Fitzrovia lorsqu’il avait 17 ans était l’état lamentable dans lequel il était. Pitoyable, facilement manipulable, d’une beauté relative ; un parfait petit jouet avec lequel se distraire quelques temps. Wallace ne s’est probablement jamais remis de cette révélation, et c’est simplement quelques mois plus tard qu’il décida qu’il n’avait plus besoin de la guidance de son maître et l’élimina – non sans une certaine satisfaction morbide. Reprenant les fonds de son feu Sire, vendant également sa résidence primaire et quelques-unes de ses secondaires, il se fit une place dans le monde du proxénétisme en passant, tout d’abord, par l’armée elle-même ; la Deuxième Guerre avait grand besoin de bordels militaires pour relâcher les tensions des pauvres soldats. Naviguant entre bordels, brothels, pubs, clubs et maisons closes, il se fit une bonne réputation dans l’underground et s’amassa une jolie petit montant avec les bons placements. Ne restant jamais plus de 7 ans dans une ville, il n’eut à rencontrer de chasseurs qu’en de rares occasions. Se trouvant un loft sophistiqué et un emploi comme manager du Café de Paris, il revient à Londres avec le désir très clair de reprendre Fitzrovia, l’ancien fief de son Sire. Wallace Renwick est de retour.
pouvoirs Mon pouvoir principal est Presence, il s'agit d'attirer l’attention des gens en pénétrant dans une pièce, provoquer la terreur en montrant les crocs ou pousser une personne à vouloir lui plaire. Le second est Potence, et il me donne une force supérieure à l’humain. Mon troisième et dernier pouvoir se trouve à être Célérité et me permet de bouger à une vitesse extrême.
derrière l'écran Je suis Adee, j'ai 21 ans et j'ai trouvé le forum par une albinos Je trouve qu'il manque d’asshole et mon niveau d'RP se trouve à être intermédiaire. Mon activité sera d'à peu près {8/10} et le code du règlement se trouve à être vu par Akumi!.
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