« Quand on rencontre la scientifique, on a cette impression que la jeune femme vit une éternelle mélancolie. Une tristesse qui ne lui laisse heureusement peu de larmes sous les yeux. Quand on lui demande pourquoi, elle répond seulement qu'elle regrette encore ce temps où elle était elle-même et quand elle était le reflet de ce qu'elle voulait projeter. Maintenant, elle est un monstre.   »