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| Title of your sextape - Poe | |
| Auteur | Message |
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» Makai Leniu «
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| Sujet: Title of your sextape - Poe Mar 6 Fév - 21:29 | |
| C’était dans ses longues soirées à l’urgence de l’hôpital Saint Pancras de Londres que Makai se rappelait qu’il n’était pas encore un jeune homme de vingt ans qui avait encore la flamme de se taper un quart de travail de 16 heures, malgré qu’il ait encore l’énergie nécessaire pour prendre soin de lui comme il l’avait toujours fait. Mais cette nuit malgré que son gym habituelle fût encore ouvert, il allait passer son tour. Il avait assez sué dans son shift, il n’avait aucunement besoin de produire d’autre effort physique pour le reste du temps où il allait être réveillé et puis il était quand même congé le lendemain. Les congés après une journée si longue étaient la seule raison pour laquelle il était d’accord pour les faires. Il ne fallait pas croire le contraire, le polynésien aimait, même adorait son travail, il était même déménagé pour avoir cette emplois, il n’allait certainement pas s’en plaindre. Et il ne pourrait jamais se passer de pouvoir changer ses vies et de pouvoir les aider du mieux de ses connaissances.
Le garou se débarrassa de ses gants avant de les glisser dans la corbeille pour se laver soigneusement les mains. Une fois la tache faite, il quitta la bâtisse de l’hôpital pour se rendre à son véhicule qu’il avait démarré à distance. Au prix que cette voiture électrique lui avait couté, elle venait donc avec son lot de plaisir de plus, comme une caméra de vision arrière et un système d’arrêt, alors un système de démarrage distance était un must. Il prit place sur le siège et se mit en route vers son condo en pensant déjà à son lit. Il voulait passer du temps avec Min Ah, mais il ne savait pas si elle dormait déjà, ni même si elle était encore au condo.
Le professionnel de la santé était sur son trajet quand il remarqua sur le bord de la route une voiture en arrêt sur les lumières d’urgence orange et le capot avant de cette dernière était ouvert. Il rangea son automobile derrière celle-ci et sorti de son véhicule. Il avança vers la vitre de la conductrice visiblement découragée par le mal fonctionnement de son automobile.
Makai cogna doucement avec la jointure de son annulaire dans la fenêtre de la jeune femme en espérant qu’elle la descende.
« Tout va bien? Je ne suis pas un mécanicien mais je suis médecin, Tu te sens bien ? »
Il la regarda avec un regard empathique avant de la détailler du regard, elle était vraiment un belle personne, mais elle devait avoir très froid avec le chauffage de son véhicule éteint et en étant habiller si légèrement. Il s’inquiétait pour elle et voulait vraiment savoir ce qui se passait. Il était prêt à faire son grand speech de médecin urgentologue, mais il se ravisa. Elle n’avait pas l’aire blessée.
« Je vais essayer de voir ce que je peux faire, je suis plus un homme de voiture à moteur électrique alors, je ne garantis rien »
Il lui offrit un sourire chaleureux histoire de la rassurer un minimum. La pauvre devait être totalement désemparée. Il ne voulait pas non plus lui faire peur.
Dernière édition par Makai Leniu le Ven 4 Mai - 15:12, édité 1 fois |
| | | » Invité «
| Sujet: Re: Title of your sextape - Poe Mer 7 Fév - 19:34 | |
| Sur le bord de la route enneigée, dans l’éclairage faiblard d’un lampadaire, une épaisse fumée blanche termine de s’évaporer dans l’air froid, les bras de Poe battant vigoureusement l’air pour dissiper les volutes.
« Oh fucking hell… »
Il frissonne en resserrant les pans de son manteau autour de son torse, frottant ses jambes blanches l’une contre l’autre, son regard découragé fixé sur le moteur de sa voiture. Il arrive souvent à son taudis sur roue de rendre l’âme alors qu’il est au volant, mais ce soir n’est vraiment pas le bon moment.
Bien sûr il n’y a jamais un bon moment : s’il utilise sa voiture, c’est pour se rendre rapidement quelque part avec beaucoup de matériel. Mais en ce moment, il est très légèrement vêtu – une robe moulante noire au tissu mince s’arrêtant à mi-cuisse avec de petits bottillons à talons – passablement éméché – il a bu juste assez de vin pour se créer l’un de ces maux de tête, mais il est en état de conduire – et vraiment frustré – ses chaleurs commencent à s’installer et il a juste envie d’être chez lui pour se faire un cocktail et se regarder un ou deux films de cul.
Il revient d’une fête pour célébrer la complétion d’un film sur lequel il a bossé, en tant que maquilleur. Et comme toujours : lorsque la batterie de son téléphone se vide, c’est le temps pour lui de rentrer! C’est très ironique, maintenant qu’il est coincé au milieu de nulle part.
Il avait allumé ses feux de détresse pour peut-être obtenir de l’aide en laissant son moteur refroidir, mais personne n’était passé de ce côté depuis qu’il s’y est arrêté. Il en avait profité pour regarder son maquillage, s’assurer qu’il n’a pas l’air d’un clown monstrueux qui ferait fuir toute aide éventuelle : mais non, son mascara volumineux, son contour parfait et son rouge à lèvre écarlate tiennent toujours. Seuls ses cheveux ont perdu leur volume, le spray fixateur s’étant évaporer avec la chaleur de la salle de réception.
Il était ressorti pour jeter un coup d’œil à son moteur, ses mains devenues noires d’huile alors qu’il essais tous les trucs que lui avait donner son garagiste, mais rien n’y fait : la voiture refuse de démarrer. Il soupire en se renfermant dans sa voiture, sentant des larmes de fatigue lui piquer les yeux.
Il était plongé dans de sombres pensées lorsque les phares d’une voiture captèrent son attention dans son rétroviseur. Il se redresse, regardant la silhouette s’approcher, puis tourne la tête vers la fenêtre lorsqu’il l’entend y cogner.
Oh mon dieu.
Cet homme est une montagne. Poe le regarde, les lèvres légèrement entrouvertes, avant d’opérer la manivelle qui permet à la fenêtre de s’ouvrir. L’homme s’enquiert de son état, précisant qu’il est médecin et le jeune homme hoche tout simplement la tête pour signifier qu’il n’a aucun problème, encore surpris qu’il soit de l’apparition devant lui.
« Je vais essayer de voir ce que je peux faire, je suis plus un homme de voiture à moteur électrique alors, je ne garantis rien, » qu’il lui dit avec un sourire. Poe ouvre de grands yeux et se redresse, tout excité.
« Merci! » qu’il lance sans réfléchir, ouvrant la porte pour se glisser hors de son véhicule et contourner la voiture jusqu’au moteur. « J’ai toujours des problèmes avec cette bagnole, mais cette fois-ci je ne suis pas sûr de ce que je devrais faire, j’ai déjà tout essayé ce que je connais… » Il parle rapidement, oubliant, pendant un instant, que sa voix grave ne s’accorde pas à son apparence de la soirée et qu’un étranger pourrait y réagir dangereusement…
Il frissonne, serrant les bras sur son torse : son manteau couvre à peine ses jambes. Il pose son regard sur l’autre. « Mon téléphone est mort alors… » Sa phrase meurt sur ses lèvres, alors qu’il se rend compte qu’il est en train d’avouer à un étranger – un très très fort étranger – qu’il n’a aucun moyen de contacter qui que ce soit.
Il ferme les lèvres, se traite d’idiot et se déplace sur le côté pour laisser à l’homme l’espace d’accéder au moteur. |
| | | » Makai Leniu «
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| Sujet: Re: Title of your sextape - Poe Ven 4 Mai - 15:15 | |
| Il était rare qu’il rentrait si tard à la maison après un long seize heure de travail aux urgences de l’hôpital, des longs chiffres comme celui-là, il les faisait de nuit mais cette fois-ci, il avait travaillé de jour jusqu’à très tard dans la soirée. Il était fatigué et avait hâte d’arriver chez lui et de retrouvé son lit. Cependant, après avoir sorti de sa voiture pour aller aider la jeune femme avec son véhicule qui ne voulait plus coopérer, il était plus qu’heureux de pouvoir lui venir en aide malgré la fatigue qui était plus que présente.
Il ne voulait pas effrayer la femme aux cheveux noirs. Makai se savait imposant, il serait un peu aveugle de croire le contraire. Le Children of Gaïa était fait tout en muscle et en hauteur. Le polynésien passa sa main sur son crâne chauve fraichement rasé avant de se pencher sur le cas du moteur de l’auto de la jeune femme. Il n’y comprenait absolument rien, un moteur électrique n’était pas la même chose qu’un moteur de voiture conventionnelle. Il avait beau connaitre par cœur la mécanique du corps humain, mais celle d’une automobile, c’était toute une autre histoire pour Makai.
Lorsque le médecin entendu la voix de la jeune femme, il fut surprit. Cette personne avait une voix vraiment plus grave que ce à quoi il s’attendait. C’est seulement à ce moment-là qu’il remarqua les traits plus fort et anguleux de son visage et de ses épaules. Il avait un doute sur le genre de cette personne, mais il n’était aucunement de son ressort ni de son droit de passer une opinion désobligeante envers cette personne. De toute façon, il n’avait aucune opinion négative sur le sujet. Il ne se prononça pas.
« Je m’excuse, je ne sais vraiment pas quoi faire avec ta voiture, par contre si tu as de besoin d’un téléphone cellulaire pour appeler qui que ce soit pour venir te chercher, je te prêterais le mien. Sinon je peux te faire un lift jusqu’à chez toi »
Il était conscient qu’elle allait probablement lui dire non, mais il lui paierait le taxi dans ce possible cas. Makai n’allait pas la laisser seule dans les rues de Londres en pleine nuit avec une voiture non fonctionnelle. Dans la mesure du possible, il voudrait être totalement certain qu’elle soit rentrée en sécurité chez elle. Une fois sa réponse affirmative pour aller la reconduire chez elle, il s’approcha de son propre véhicule pour aller lui ouvrit la porte.
Une fois dans la voiture, Makai remarqua, qu’il ne c’était jamais présenté, qu’il n’avait jamais dit son nom, mais il trouvait totalement ridicule de se présente maintenant alors que cela devait faire plus de dix minute qu’il était face à l’autre. Il décida donc de retiré son badge d’employer de l’hôpital qu’il avait encore dans sa poche pour le mettre bien en évidence dans le vide clé proche des boutons de la radio, comme sa elle pourrait bien le voir et connaitre son nom sans qu’il ait besoin de le dire. Il lui demanda avec un grand sourire:
« Je vais te porter ou? » |
| | | » Invité «
| Sujet: Re: Title of your sextape - Poe Mer 30 Mai - 21:56 | |
| Ce n’était pas tous les jours que Poe avait la chance de voir une silhouette si impressionnante se pencher pour réparer sa voiture – BOOM, ce derrière et ces cuisses dans ces pantalons sont vraiment un plaisir à voir – mais il aurait réellement apprécié que ce soit une belle journée d’été et que l’autre homme soit en camisole blanche. On ne peut pas tout avoir, dans la vie.
Plutôt il se les gèles en regrettant que le manteau de l’homme fasse de son corps un cube bien opaque. Vraiment, le début de ses chaleurs est toujours ponctué par de la frustration.
Lorsque l’autre annonce qu’il ne peut rien faire pour sa voiture – RIP – il ferme les yeux en soupirant, prenant quelques secondes pour réfléchir à ses options. Le médecin – vraiment? Médecin? Il ressemble plus à un lutteur freestyle – lui offre son téléphone pour appeler quelqu’un ou même de le reconduire chez lui. Poe rouvre les yeux, surpris par l’offre de voyagement, puis réfléchit un instant. Qui pourrait-il appeler? La plupart de ses amis n’ont pas de voitures… et ceux qui en ont ne sont surement pas en état de conduire, à l’heure qu’il est. A-t-il envie de rester encore dans le froid a attendre quelqu’un, de toute façon? Il a seulement envie de rentrer dormir… Il se mord la lèvre, puis parle doucement, essayant de camoufler un peu le grave de sa voix.
« J’apprécierais que vous me reconduisiez. Et si je peux prendre votre téléphone pour texter une copine, ce serait génial. »
Immédiatement, l’autre lui passe son cellulaire – oh mon dieu, son téléphone doit valoir plus cher que la voiture de Poe, ne pas l’échapper, ne pas l’échapper, ne pas l’échapper – et retourne vers sa voiture en l’invitant à le suivre. Poe s’installe dans le siège passager – il est plus confortable que son divan, chez lui, qu’est-ce que c’est que cette bagnole de riche – bouclant sa ceinture avant d’ouvrir le téléphone pour y entrer le numéro de téléphone d’une amie. Il n’est pas de ceux qui se fient à leur portable pour enregistrer leurs numéros : il se fait un point d’honneur de connaître par cœur les numéros les plus importants.
Alors qu’il commence à rédiger son message, expliquant la situation, il voit poser quelque chose dans le porte-monnaie. En y jetant un coup d’œil rapide, il remarque la carte d’employé – oh, c’est vraiment un médecin. Wow – et tape rapidement le nom de l’homme dans son message, par sécurité. Il lève les yeux lorsque l’autre lui demande où il doit aller le mener et cligne des yeux, jetant un coup d’œil par la fenêtre. « Oh, » il replace ses cheveux sur le côté pour dégager son visage, « c’est dans King’s Cross. » Il détaille le chemin qu’il prend habituellement, avant de regarder l’autre pour voir s’il a compris. Il ramène son attention sur son texto, le finalise et l’envoie avant d’aller effacer le message et le numéro de téléphone du cellulaire de Makai – ce serait un peu malaisant de savoir qu’il puisse un jour lire son message où il ne lui fait pas trop confiance.
Il rend le téléphone à l’autre en le remerciant du bout des lèvres avant de croiser les bras de nouveau pour garder sa chaleur. D’être enfin dans une voiture en fonction commence à le réchauffer. Il regarde l’autre homme et a un petit sourire. « Merci de m’aider même s’il est si tard. »
Il lui doit au moins des remerciements. Jusqu’à maintenant, on dirait un homme tout à fait respectable qui n’avait envie que d’aider. S’arrêter sur le bord de la route, aider quelqu’un avec des problèmes mécaniques, en plus que Poe commençait a souffrir du froid, dans sa mini-robe- oh putain de merde, ça sonne comme un porno.
Poe détourne la tête vers le fenêtre, embarrassé d’avoir eu cette pensée. |
| | | » Makai Leniu «
Messages : 5
| Sujet: Re: Title of your sextape - Poe Mer 11 Juil - 15:57 | |
| Cette personne avait beau être tirée d’affaire et ne plus être au froid et au prise avec une voiture qui ne fonctionne plus, Makai s’inquiétait encore. C’était dans sa nature de s’inquiéter des autres. Après tout, sa vocation était de protéger les gens tel qu’ils soient. Elle était dans de beaux draps, surtout qu’elle allait devoir payer un remorqueur pour sa voiture, ou ce qu’il en reste. C’était plus près d’un tas de ferraille que d’une voiture.
« Ça me fait plaisir, mais tu devrais faire attention, cette voiture me semble pas très sécuritaire. Je sais que ce n’est pas de mon ressors de vous le dire mais juste en la regardant j’ai peur de la voir sur la route. »
Le médecin suivi les directive donnée par la personne pour ce rendre vers sa résidence. Elle avait l’aire d’écrire tout un roman, d’une certaine façon elle prenait ses précautions, elle ne savait à qui elle avait affaire après tout. Il était un étranger. Et ce même s’il se savait être une bonne personne, elle avait ses raisons de faire attention, c’était tout à fait normal. Surtout vu la situation, personne ne l’avait vu entré dans sa voiture, ni lui parler. C’était la situation parfaite pour un enlèvement. Mais ce n'était pas son intention.
Il reprit son téléphone et le plaça dans la poche avant de son pantalon.
« Mais ce n’est rien, Tu as encore froid? ton manteau n’est pas très couvrant »
À un stop, il enleva son manteau, il avait un léger T-Shirt blanc en dessous. Il n’avait pas vraiment froid, il avait toujours très chaud au début des chaleurs. Il tendu son grand manteau à la personne. Il aurait pu lui faire une couverture, mais c’était un vêtement de bonne qualité, elle ne pourrait pas avoir froid avec celui-là. Impossible. Il lui sourit, un sourire aux dents brillantes. Puis il reprit la route.
« Tu sais, je m’excuse de t’avoir fait peur tout à l’heure – il ria – je ne suis pas très rassurent au premier abord. On arrive dans ton quartier, fait juste prendre un papier et un crayon dans le coffre à gant, je vais te donner mon numéro, juste au cas où quelque chose arriverait. »
Ils venaient d’arriver à l’appartement et arrêta le moteur.
« Prend soin de toi, garde le manteau je reviendrai le chercher quand je pourrais.»
Il laissa partir la personne et attendu qu’elle entre dans le bâtiment. Il attendu un moment avant de repartir le moteur, il voulait faire sur qu’elle soit en sécurité. Mais en la revoyant sortir, il savait qu’il y avait un problème. |
| | | » Invité «
| Sujet: Re: Title of your sextape - Poe Ven 20 Juil - 0:06 | |
| Le ciel est orange, une nappe de nuage couvrant la ville, reflétant les lumières citadines sur les cristaux de glace. Il va probablement neiger bientôt. Poe regarde toujours par la fenêtre, essayant de chasser de ses pensés les similitudes entre sa situation présente et un porno bas budget, lorsque le conducteur reprend la parole.
Il tourne la tête vers lui et a un petit rire lorsque l’autre lui lance qu’il ne fait pas confiance à sa voiture. Son cher tas de ferrailles. Il se le traine depuis son retour des États-Unis. C’était une vieille voiture amochée déjà : il l’a acheté cash d’une fille sur facebook. Il n’en pouvait plus de devoir emprunter la voiture à son père et ne voulait que pouvoir s’éloigner de chez lui dès qu’il en avait l’envie.
« Mon garagiste n’est pas plus optimiste, » ose-t-il mentionner, avec un petit sourire. « Oh, prenez la droite, ici, » indique-t-il, se rapprochant de chez lui. Il soupire. Il se mordille la lèvre, puis reprend la parole. « Ma voiture est mourante, mais je n’ai pas encore assez économisé pour une nouvelle. » Il est fatigué, il a envie de se plaindre un peu. « Mais j’en ai besoin, alors… »
Il retombe dans le silence, quelques secondes, serrant ses bras autour de lui, mais cligne des yeux lorsque l’autre homme lui tend son propre manteau, après lui avoir demandé s’il avait encore froid. « Oh, non, ce n’est pas… » Il allait dire que ce n’était pas nécessaire, mais le manteau et sur lui, maintenant, radiant de la chaleur corporelle de – quel était son nom, déjà? Makai? – Makai. Il marmonne un remerciement, se blotissant dans le manteau comme dans une couverture. Déjà, il sent ses paupières s’alourdir, enveloppé par la chaleur, son nez planté dans le col du manteau pour sentir l’odeur du médecin. Il passe quelques secondes à inspirer cette odeur avant de cligner des yeux et se redresser un peu. Nooooon. Non. Les chaleurs sont terribles.
« Tu sais, je m’excuse de t’avoir fait peur tout à l’heure, » lui vient la voix de l’autre. Poe tourne la tête pour le regarder et – oh mon dieu, ces bras, ce tshirt, oh non. Il est si distrait qu’il en oublie presque d’écouter ce qu’il lui dit, mais il fini par secouer la tête. « Oh, non, ne vous excusez pas, c’est très gentil de vous être arrêté. » Il prend le papier et le crayon dans le coffre à gant et note le numéro de l’autre. Est-ce une manière subtile de lui donner son numéro, pour d’autres raisons que sa sécurité? Non, bien sûr que non, seigneur Poe, sors-toi ces idées de la tête.
Ils arrivent enfin chez lui. Poe allait rendre le manteau à Makai, mais celui-ci lui dit de le garder et Poe ne peut s’empêcher de sourire, touché par tant de gentillesse. Il le remercie, lui assure qu’il l’appellera demain, puis file vers son logement. Il passe la porte d’entrée, descend les quelques marches menant à son demi sous-sol, puis met la main dans sa poche pour prendre ses clées… mais ne les trouve pas. Il cherche toutes les poches de son manteau, paniqué, mais rien. Il laisse retomber ses bras, se souvenant soudainement qu’il a laisser ses clés dans son sac à main… sur le siège passager de la voiture.
Des larmes brûlent ses yeux. Merde! Il y était! Il était presque rendu à son lit! Cette soirée est vraiment la pire soirée de tous les temps. Il essuis rapidement ses yeux, jetant un regard vers l’extérieur, dépité, et remarque que Makai n’est toujours pas partie. Il renifle, monte rapidement les marches et sors dehors. Des petits flocons de neige tombent doucement, il resserre le manteau du médecin autour de ses épaules comme une cape. Il sent les larmes coulées sur ses joues, de fatigue et de dépit. Il ouvre la portière.
« Je suis désolé, euhm… j’ai oublié… mes clés dans ma voiture et… si c’est possible… de retourné ; je suis vraiment désolé…» Il renifle, jure tout bas en s’essuyant rapidement les yeux. « Pardon, je suis juste… fatigué. J’ai simplement envie de dormir… »
Il n’est pas embarrassé d’être un pleurnichard, mais de devoir demander à l’homme de le ramener à sa voiture après avoir été assez gentil pour le conduire jusqu’à chez lui… c’est stupide. |
| | | » Makai Leniu «
Messages : 5
| Sujet: Re: Title of your sextape - Poe Mer 8 Aoû - 15:07 | |
| Le médecin était crevé, il arrivait seulement à garder les yeux ouvert grâce à la motivation d’aller retrouver son lit et de pouvoir dormir sans tracas. Il avait tourné la clé dans le démarreur et avait entendu le moteur revenir à l’activité, mais il n’avait pas eu temps de faire autre chose que la personne revenait vers lui. Il devait avoir un problème. Elle fessait pitié, le grand manteau sur ses épaules et les larmes qui lui coulaient sur les joues. Makai se demandait ce qui c’était passer pour qu’elle revienne dans un tel état.
Elle avait oublié ses clés dans sa voiture, en plein centre-ville. Il regarda la personne avec des yeux attendri. Il n’avait pas envie d’y retourné, il était presque chez lui. Il eut une pensée. Il n’avait qu’à lui offrit le logis pour ce soir, il lui prêterait son lit et il dormirait sur le divan, il s’ouvrait comme un lit cela ne le dérangeait pas le moins du monde.
C’est avec l’aura la plus rassurante qu’il pouvait avoir que le Garou se pencha vers l’individu doucement, l’entourant de ses bras. Elle avait besoin de se calmer, elle stressait et le plus grand n’appréciait pas voir les gens dans un état comme celui-là. Il passait sa main dans le dos couvert de 2 manteau doucement tentant de rassuré la personne aux cheveux noirs du mieux qu’il le pouvait.
« Calme toi, tout va bien. On va aller chez moi, tu dormiras dans mon lit, je dormirais dans le salon. On ira chercher ta voiture et tes clés demain matin, ne t’en souci plus. »
Il s’éloigna du corps de l’autre et reprit la route vers chez lui. Il n’habitait pas très loin seulement à quelque rue, son condo était dans le même quartier. Une fois arrivé, il rangea son véhicule dans son garage, éteint le moteur et sorti pour aller la brancher dans la prise électrique. Il ouvrit la porte du garage qui donnait sur son appartement.
« Tu vas pouvoir enlever tes bottes sur le côté de la porte. »
Une fois son invité entré et ses bottes enlevées, il prit les manteaux et les suspendit dans le petit placard avant d’éloigné ses propre bottes de devant la porte. Il invita la personne à le suivre dans le logement. Il se sortie une petite couverture de lin légère et la déposa sur le divan. Makai montra les différentes pièces du condo pour qu’elle ne soit pas perdue.
Une fois bien installé, il se préparait déjà pour aller dormir, laissant la personne se mettre confortable dans le condo. Il alla brosser ses dents et sa douche allait attendre au lendemain, trop fatigué pour aller la prendre. L’homme revenu vers le salon, ouvrit le divan lit et lissa les draps et couverture .Le médecin retira son chandail et le plia sur le haut du divan et fit la même chose avec son pantalon. Il n’avait jamais été très pudique, mais il n’y avait pas pensé à son invité avant d’être rendu en sous-vêtement devant la personne.
« S’il y a quoi que ce soit, je serais dans le salon, mais je doute que tu manques de couverture. Bonne nuit. Demain matin je ferais a déjeuner. » |
| | | » Invité «
| Sujet: Re: Title of your sextape - Poe Mer 15 Aoû - 10:29 | |
| Honnêtement, à ce point de la soirée, Poe se serait attendu sans mal à ce que l’autre homme soit en colère ou, du moins, vraiment irrité par la situation. Mais contre toutes attentes, il le pris dans une étreinte rassurante, frottant son dos de sa grande main, lui demandant de se calmer et lui proposant de venir dormir chez lui.
En situation normale, Poe aurait été encore plus stressé par une telle offre – après tout, il a entendu assez d’histoires d’horreur dans la communauté queer durant ses 3 ans aux États-Unis pour savoir qu’il ne faut pas faire confiance à un inconnu. Mais peut-être est-ce parce qu’il est si fatigué et pompette ou même ses chaleurs, mais il se détend aussitôt, comme si ses muscles fondent tranquillement. Il ferme les yeux, visage pressé contre l’épaule de l’homme et il hoche la tête doucement, acceptant l’offre. « Okay, » il marmonne, essuyant ses joues alors que Makai s’éloigne de lui pour reprendre le volant.
Wow. C’est d’avoir pleurer qui lui a fait tant de bien ou c’est de savoir qu’il va bientôt dormir? Parce qu’il est complètement calme, maintenant, emmitouflé côté passager. Le chemin est vraiment court : terriblement court, en fait. Il pourrait parcourir la distance entre leurs deux logements à pieds. Mais alors que Poe reste dans un logement modique, Makai est clairement dans la partie du quartier qui devient plus aisée. Poe sort du véhicule une fois à l’intérieur du garage. Il fait un peu plus chaud, ici et il attend patiemment que Makai ait brancher son véhicule avant de le suivre vers une porte. Il retire ses bottillons à talons près de la porte, comme indiqué, puis tend ses manteaux à l’autre homme. Il rougit légèrement, maintenant que sa minirobe est complètement visible ; ses bras pâles aux avant-bras tatoués, son absence de poitrine ses hanches étroites et ses longues jambes imberbes au bout desquelles ses pieds endoloris sont tout de même décorés de vernis trop coloré pour s’agencé à son style actuel. Si l’autre homme en pense quelque chose, il n’en dit rien.
Makai l’invite à le suivre, lui faisant brièvement visiter le logement – okay, la salle de bain est là, c’est bon à savoir. Il observe un peu la chambre de Makai, ouvrant les draps, puis se demande s’il pourrait emprunter un t-shirt à l’homme pour dormir. Il revient vers le salon, où le médecin semblait préparer le divan, mais toutes questions disparaissent de son esprit lorsqu’il se retrouve face à Makai en sous-vêtements.
« S’il y a quoi que ce soit, je serais dans le salon, mais je doute que tu manques de couverture. Bonne nuit. Demain matin je ferais a déjeuner. »
Poe reste figé une seconde de trop avant d’hocher la tête. « O-okay. Merci. »Il recule vers la chambre. « Merci beaucoup. »Il ferme la porte. Wow. Okay.
Il jette un regard au lit. Comment va-t-il dormir en sachant qu’il s’agit du lit du dieu dans la pièce d’à côté?
Il retire sa robe et se glisse entre les draps en sous-vêtements, oubliant complètement à propos du tshirt ou même d’aller se démaquiller. Sur l’oreiller et les draps, la même odeur que le manteau de Makai. C’est relaxant.
Il ferme les yeux. |
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