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 fuck you, you dipshi-diot ▬ logan myers

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fuck you, you dipshi-diot ▬  logan myers Empty
MessageSujet: fuck you, you dipshi-diot ▬ logan myers   fuck you, you dipshi-diot ▬  logan myers EmptyLun 28 Nov - 22:11


Logan Myers



Ezra Miller
Je m'appelle Logan Myers, je suis né le 1er avril 1994 et j'ai 22 ans. Je suis un humain et je suis une goule. Je suis bisexuel et je suis difficile. Je suis un étudiant et je suis d'origine américaine.


toi et juste toi



Des cheveux bruns courts lissé vers l’arrière à force de tics, un regard noisette aux reflets dorés, une mâchoire sur laquelle on peut se couper les doigts et des lèvres épaisses : Logan a une belle gueule. Sans parler de son corps : sportif, il s’entraine régulièrement et sans être un culturiste il a des muscles bien définis tendues sous la peau.

Ses mains sont grandes, aux jointures proéminentes, peau éraflée et petites cicatrices apparentes. Elles sont toujours chaudes et ses doigts craquent sèchement à chaque fois qu’il serre les poings. Il n’a ni tatouages ni piercings : il les trouve cool, il n’a juste pas d’envie particulière d’en arborer.

Ne passant pas beaucoup de temps au soleil, sa peau est généralement pâle. Le rouge y parait donc très bien : ses oreilles prennent une teinte pivoine lorsqu’il est embarrassé, alors que c’est son visage tout entier qui devient cramoisie lorsqu’il se met en colère.

Le style vestimentaire de Logan est simple : du combo jean/hoodie du dimanche à l’ensemble veston et t-shirt des soirs de semaine. Il porte très peu d’accessoires, se contentant souvent d’une montre. Sourcils généralement froncés et mains au fond des poches, il donne une impression renfrognée qui n’est pas très invitante, mais au moins il n’est pas nécessairement intimidant.

Sans être maniaque de son apparence, il s’entretient. Disons qu’il est habituel de le voir avec une barbe de quelques jours, mais jamais il ne sautera la douche matinale ou post-entrainement. Il est aussi secrètement content de ne pas avoir hérité de la pilosité extrême de son père, bien qu’un peu de manscaping soit nécessaire.  




Logan est une bombe à retardement. Un système sensible qu’on risque de faire sauter à la moindre erreur. Il est en colère 24h/24, un système nerveux à vif. Une bousculade, un regard déplacer, une parole en trop et c’est trop tard. Ça lui monte à la gorge comme une douloureuse boule de feu et s’il ne la laisse pas sortir il a l’impression qu’il va tout simplement s’enflammer et se consumer de l’intérieur jusqu’à disparaître. Il n’a pas envie d’être comme cela, mais il n’arrive pas à se retenir.

Il manque de contrôle en général. C’est une des raisons pour lesquelles il est probablement le mec le plus difficile à aimer au monde. Une tendance vers la colère, une impulsivité naturelle et un manque de tact serait assez pour rentre la tâche compliquée, mais il y a aussi son manque d’estime personnel. Si on demandait à Logan de se décrire, il ne saurait tout simplement pas quoi dire. Il n’a pas l’impression d’avoir une personnalité, rien qui ne vaille la peine d’être mentionné. Il a même de la difficulté à accepter les compliments, ricanant à leur mention ou restant simplement silencieux, comme s’il n’avait rien entendu. Cela ne veut pas dire qu’ils ne lui font pas plaisir, pourtant. Seulement, il ignore comment y réagir, car il n’a pas vraiment envie de savoir si les gens sont sincères ou non en les lui donnant. Il n’a pas tendance à faire confiance aux gens, car sa naïveté l’a souvent mis dans des situations douloureuses. En règle générale, il aime bien les enfants, car il trouve qu’il est facile de les comprendre. Les femmes… il essaie de ne pas être trop dur envers elles.  Les hommes, toutefois, il les côtoie avec méfiance.

Logan a beaucoup de difficulté de parler de ses sentiments. Il préfère de loin les vivre en silence et s’isoler dans une pièce vide pour ne pas qu’on lui pose de question. À moins d’être bourré jusqu’au coma éthylique, jamais il ne pleurera devant quelqu’un. Pour cette raison, il lui arrive parfois de sombrer dans des courtes périodes d’inactivités ou il va simplement rester étendu sur un fauteuil toute la journée à lire ou écouter de la musique.

Malgré tous ces obstacles, pourtant, le garçon est un très bon ami. Il est doux et poli lorsque ses défenses sont tombées, presque timide parfois. Il est enthousiaste en parlant de ses hobbies ou en écoutant les autres, chaleureux dans ses actions plutôt que dans ses paroles. Compétitif, il ne manque jamais de rendre la journée intéressante. Un peu puéril encore, il n’aime pas perdre, toutefois. Protecteur et courageux, il n’hésite pas à apporter son aide à ses proches ou à les protéger du danger, quitte à être blessé. Lorsqu’il s’attache à quelqu’un, il tient cette personne en haute estime et essaie, de son mieux, de lui ressembler. Il n’est pas possessif, pourtant : il a, en réalité, très peur de croire qu’il possède quelqu’un ou quelque chose, car jusqu’à maintenant la vie lui a bien montrer qu’il n’a rien à quoi se tenir.



« Qu’est-ce que c’est que cette merde, hein?! Tu me prend pour un con? » Coup de la droite, ferme les yeux avant que ses ongles ne touche l’œil comme la dernière fois.« Tu pensais que je n’allais pas remarquer? » Encore de la droite, tourne légèrement la tête pour réduire l’impact, tout vas bien, il n’a pas encore serré les poings. «Hein? HEIN?! Je me fais chier au boulot pour mettre des vêtements sur ton dos et monsieur se fait de l’argent en secret pour acheter des BANDES DESSINÉES?  Fils de p-! » Ne panique pas parce qu’il tient tes cheveux, il va juste te secouer, tu es trop grand pour qu’il frappe contre la table maintenant, serre les dents il va se lasser. « REGARDE-MOI QUAND JE TE PARLES! » Ne le regarde pas, ça va simplement empirer les choses, ne le regarde pas…


La télévision est le seul éclairage, couleurs vives et épileptiques d’un show télé débile. Le volume est si fort, il doit couvrir une partie des hurlements de son père aux oreilles des voisins. Non pas que ça change quoi que ce soit, ils sont tous habitués : c’est ce genre de quartier, après tout. Le genre d’endroit où les junkies, les malfamés et les déchets humains s’amassent. La famille Myers fait facilement partie de cette dernière catégorie.

Un père alcolo qui ne fait que hurler et taper s’il n’a pas un goulot dans la gueule, une mère apathique qui donne son âme aux programmes télé et aux catalogues promotionnels et un fils punching-ball si effacé que certains voisins le pensent débile et muet.

Il n’est ni l’un ni l’autre, pourtant. Il a simplement appris à tenir sa langue lorsqu’il est à faible distance de son paternel. Après tout, le moindre mot franchissant ses lèvres le met dans une colère noire. Comme tout ce qu’il fait, d’ailleurs. Toutes raisons sont bonnes pour lui hurler dessus, même si elles ne sont pas vraies : il ne fait pas de l’argent « en secret », il travaille au même dépanneur depuis qu’il a 14 ans.

Il aimerait pouvoir dire que son père n’a pas toujours été comme cela, mais, malheureusement, il n’a aucun bon souvenir de lui. Les bons souvenirs seraient plutôt ces journées où il était absent ou trop saoul pour lever poings, ceintures ou bouteilles.


« TU SAIS QUOI? » Il lui lâche enfin les cheveux. Garde la tête basse, il va se calmer. « SI TU AS ASSEZ D’ARGENT POUR T’ACHETER DE LA MERDE, ACHÈTE-TOI À MANGER! » Regarde le sol. « Y’A RIEN POUR TOI ICI CETTE SEMAINE, RIEN! » Ce n’est pas vrai, il va oublier après une autre bouteille. « BARRE-TOI! »

Il ne se le fait pas dire deux fois.






« C’EST QUOI TON PROBLÈME, MYERS?! » Merde, pourquoi tu fais encore une scène. Des mains saisissent ses bras, tentent d’entraver ses mouvements. « Fais pas le con, Myers! » Il se dégage brusquement, lève le poing de nouveau. Arrête, tu vas te mettre dans la merde. « LÂCHE-LE, MERDE! » Il frappe une fois, deux fois. « MYERS! » Stop.  « ARRÊTE! » Des mains plus fortes saisissent ses épaules et le tire vers l’arrière.


Le corridor est plein d’étudiants curieux, observant la scène à une distance respectable. Les néons grésillent, éclairant les visages d’une lueur épileptique. Ce n’est pas inhabituel, ce genre de bastonnade dans cette école. Ce l’est encore moins que Logan Myers en soit la cause. Les adolescents du bahut disent qu’il est instable, un sourire en coin aux lèvres et un regard moqueur au passage. Certains ont même réellement peur de lui. Il faut dire qu’il saute à la gorge de n’importe qui pour des raisons assez arbitraires. De le voir être maitrisé par l’un des gardiens de sécurité, le visage rouge de rage et du sang sur les jointures ne doit pas aider non plus.

Il peut dire, dans son cas, qu’il n’a pas toujours été comme ça. Enfant, il était plutôt sage. Une vieille enseignante l’a même qualifié d’adorable, une fois, mais il n’y croit pas vraiment. Il avait quelques amis, sans plus : il n’était pas très sportif, préférais passer son temps avec le club de sciences. C’était l’époque où il avait une meilleure amie et où ils passaient des heures à travailler sur des projets pour la Foire des Sciences annuelles. Puis il a arrêté d’y participer et ils ont arrêtés de se voir.

D’avoir un ami lui manque. Il se dit que ce serais sympa d’avoir quelqu’un avec qui discuter. Échanger de la musique. Avoir des projets. Mais chaque fois qu’il pense voir une amitié naître, quelque chose cloche et il pète un câble. Personne n’a envie d’être ami avec un mec qui se met à hurler au moindre petit accrochage.


« On se calme, Myers. » Il arrête de se débattre. Calme-toi, n’empire pas les choses, calme-toi. « Ça tourne pas rond chez toi, Myers. » Il serre les mâchoires. Ne réplique pas, calme-toi. « Allez, on va voir le principal. » Suis-le, ne fais pas de conneries. « Tu as vraiment le don de te mettre dans la merde, Myers. » Il serre les poings, tourne la tête vers l’homme. « Go fuck yourself. »

Il est suspendu pour une semaine.






« Hey Logan. » Il lève les yeux sur l’homme qui vient de s’arrêter près de lui. Inspire, calme-toi avant de répondre. « Hey » L’homme pointe l’œil de l’adolescent. Il doit être violet, maintenant, c’est normal qu’il remarque.« Ton père ? » Il serre les dents. Ne te remet pas en colère, c’est Blake, il veux juste savoir. « Il m’a lancé sa bière à la gueule. » Ne sois pas si crispé. « Tu devrais mettre de la glace. » Une fraction de seconde. « J’ai l’air d’avoir de la glace, connard? » Pourquoi tu parles sans réfléchir. L’adolescent détourne les yeux. Il va se fâcher, maintenant.




L’homme à la barbe grisonnante, c’est Blake McCullough. Ils se connaissent depuis presque un an, maintenant. La première fois que l’homme a tenté de l’abordé, Logan l’a envoyé chier avant même qu’il n’ait finis sa phrase. Il s’est laissé amadoué après plusieurs rencontres, il ne sait trop comment ni pourquoi, mais voilà : maintenant ils se voient de temps en temps, pour discuter.  

Ce n’est pas une relation facile à expliquer. Blake est quelqu’un de direct et peut toucher plusieurs cordes sensibles de Logan en une seule phrase. Sa situation familiale et son tempérament de merde ne sont pas un secret, pour lui, et pourtant il continu à lui parler.

Il a encore de la difficulté à lui faire confiance. Chaque fois qu’il lève un bras trop vite il a l’impression qu’il va le frapper. Chaque fois que Logan ne parvient pas à retenir sa mauvaise langue, il redoute le moment où Blake va se mettre à hurler. À la moindre information personnelle qu’il partage, il a l’impression qu’il va simplement se moquer de lui. Pourtant, l’homme n’a jamais fait aucune de ces choses.

Il ne sait pas ce qu’il veut de Blake. Il ne sait pas s’il veut qu’il disparaisse ou qu’il reste. Cela est, bien sûr, si Blake lui-même ne se lasse pas de lui.




« Non, mais j’ai un congélateur. » L’adolescent cligne des yeux, surpris. « Et alors? »  Ne sois pas impoli. « Et alors vient, on va mettre de la glace. » Il oublie toujours que Blake n’a pas un tempérament aussi explosif que le siens. « Ça va… » Pourquoi tu dis non. « Viens je te dis. » L’adolescent le suis donc. Il en avait envie depuis le début, mais de voir l’autre insisté lui donne l’impression d’être important, ne serait-ce que pour un moment. « Tu as bientôt 18 ans, non? » Logan cligne des yeux. « Ouais? » Dans quelques mois… « Tu vas pouvoir partir de chez tes parents, alors. » Il a raison. « Non, pas… pas avant ma graduation. Je n’ai pas l’argent.» Tu a simplement peur qu’ils ne remarquent pas que tu sois partie.  Il a l’impression que Blake sais que ce n’est pas complètement vrai. « Je vois. » Il doit penser qu’il est faible. « D’ici là, n’hésite pas à venir chez moi si ça devient trop dur. » Logan le regarde.

Il se demande si Blake sait à quel point il lui donne de l’espoir.






« Fait attention à ta garde. » Les poings du garçon frappent le punching-bag avec un son étouffé. « Ta garde, Logan, tu es trop ouvert quand tu frappes de la gauche. » Facile à dire. « Aller, un dernier gauche-droite. » L’entraineur laisse le sac balancer une fois les deux coups donnés. « Parfait, prends une pause. » Logan se redresse, essoufflé, et prend la bouteille d’eau que l’autre lui tend.


Le gym de boxe est animé cet après-midi : si plusieurs sont là juste pour s’entrainer, certains membres ont décidés de participer à un tournois amical vite fait sur le grand ring. Le soleil entre par les grandes fenêtres, éclairant la salle de jaune et d’orangés et Logan essuie son visage sur sa serviette en regardant les matchs. Il se sent bien. Drôle comme les choses peuvent changer, en près de quatre ans.

L’année de ses 18 ans a été désastreuse. Elle a débuté par la plus grosse raclée qu’il ne s’est jamais prise de son père. Paupière bleuie et enflée, lèvres fendus, mains endoloris et il était certain qu’il lui avait cassé des côtes. Comme ils n’ont pas d’assurances, le seul endroit qu’il avait où aller était chez Blake. Il a pleuré. Pas vraiment à cause de la douleur, plutôt parce qu’il était soulagé qu’il ait vraiment tenu parole et se soit occupé de lui. Premiers soins, boisson chaude, un peu de conversation et une bonne nuit de sommeil. Il ne sait pourquoi, mais le lendemain son état s’était amélioré. Il s’était dit, à ce moment, que c’était surement parce que Blake savait comment s’occuper efficacement de blessures.

Il a passé de plus en plus de temps chez Blake, lorsque celui-ci y était. Pas seulement quand son père lui refaisait le portrait, mais aussi parce qu’il s’y sentait bien. Chez lui, son père était de plus en plus violent. Il était même venu lui hurler dessus au milieu de la nuit, le réveillant en lui balançant un de ses manuels scolaires.  Il n’avait pas nécessairement le sentiment « d’être chez lui » dans l’appartement de Blake, mais au moins il s’y sentait en sécurité.

Malgré toute la merde que ses parents lui ont fait endurer, il aurait quand même aimé qu’ils se pointent à sa graduation. Ils avaient dit qu’ils y seraient, mais encore une fois il s’était fait trop d’espoirs : comme toutes les foires des sciences où ils ne sont jamais allés, malgré qu’ils aient promis. Blake est venu, toutefois. Ça a réconforté Logan autant que ça lui a fait mal. Ce soir-là il s’est bourré la gueule chez lui et l’a embrassé. Enfin, il a plus écraser ses lèvres contre les siennes très fort. Un petit con de 18 ans cherchant désespérément de l’affection chez un homme dans la cinquantaine : le plus étonnant, c’est qu’il lui en a donné.

Il a commencé à travailler temps pleins, s’est mis à chercher un appartement, mais comme ses parents sapaient la moitié de son salaire, il ne trouvait rien de vivable à un bon prix. Après quelques mois à toujours se pointé chez Blake avec de nouvelles ecchymoses, ce dernier a commencé à lui offrir de venir vivre avec lui. Logan était d’abord trop surpris pour dire quoi que ce soit, puis s’est mis à refuser les offres. Toutes les raisons étaient bonnes – « ton appart est trop cher », « trop loin de mon boulot », « ma mère a besoin de moi ce mois-ci » – jusqu’à ce que Blake se fâche. « Ouvre les yeux », qu’il lui a dit, « ton père va finir par avoir ta peau. »

C’est un peu avant ses 19 ans qu’il a emménagé chez Blake. Et bien qu’il en doutait un peu au départ, les choses n’ont fait que s’améliorer. Il a pu commencer à faire des économies, se trouver un gym où apprendre à boxer, sortir un peu sa colère et découvrir que de vivre avec quelqu’un qui ne vous ignore pas ni ne vous veut du mal est vachement plus sain : même si cette personne est un vampire.

Logan a 22 ans.


« Alors, c’est quand le grand départ? » Logan cligne des yeux, surpris. « Oh, euh, dans trois semaines. » Son entraineur sourit. « L'Université de Londres, huh? Tu vas nous manquez, par ici. » Le jeune homme sourit poliement.

Il en doute, mais la pensée fait plaisir.


derrière l'écran


Je suis Adee, j'ai 22 ans et j'ai trouvé le forum grâce à Dieu Je trouve qu'il est gr8 m8 et mon niveau d'RP se trouve à être fast enough. Mon activité sera d'à peu près 8/10 et le code du règlement se trouve à être Coma aime ça avoir de la job! et je le met seulement pour donner un peu plus de job aux admins, love you, kiss kiss.



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