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 no angels ▬ lee

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MessageSujet: no angels ▬ lee   no angels ▬ lee EmptyMar 4 Avr - 12:26


Hunter J. Lee



Kim Won Joong
Je m'appelle Hunter Jaejin Lee, je suis né le 21 mai et j'ai 20 ans. Je suis un hunter et j'appartiens à la creed visionaries. Je suis gay et je suis libre comme l’air. Je suis un pickpocket et je suis d'origine anglo-coréen.


toi et juste toi



Le jeune homme a un physique particulier qui lui attire souvent des commentaires. Il n’est pas parmi les plus grands – 5’9 et demi à peine, aux épaules étroites – ni les plus musclés – son corps est développé, mais du genre maigre – mais ses proportions lui donnent un air de modèle alors que son visage, couvert de taches de rousseurs, en surprend plus d’un. Après tout, il est rare de voir un jeune homme de descendance asiatique avec un tel attribut. Si ses yeux sont étroits et bridés comme on peut s’y attendre, ses cheveux sont d’un brun ondulé alors que ses iris noisette tirent sur le vert. Visiblement, ses origines métissées se manifestent.

Si son visage est couvert de tâches de rousseurs, le reste de son corps ne l’est pas ; complètement blanc, si ce n’est pour quelques grains de beautés égarés ici et là, ce sont plutôt les cicatrices qui se manifestent. La majorité sont des cicatrices usuelles : genoux et coudes écorchés par des jeux d’enfants, maladresses avec des ciseaux, clôtures brisés ou clous crochis qui accroche quand on se faufile au passage… Certaines sont esthétiques : ses oreilles sont percées d’un simple trou à chacune, bien qu’il n’arbore aucun tatouage.  D’autres, toutefois, témoignent d’une plus grande violence : d’épaisses cicatrices en formes de larmes au niveau des chevilles, par exemple, ou encore une dizaine de lignes zigzagantes à l’intérieur de son poignet gauche.

Côté vestimentaire, il n’est pas très difficile. Ses vêtements sont plus fonctionnels qu’esthétiques. Il porte souvent plusieurs couches de vêtements, commençant par un t-shirt ou une camisole, puis un pull, une veste et enfin un manteau. Ses manches sont toujours un peu trop longues, cachant ses mains, le col de son chandail dévoilant ses clavicules bien définis. Il trimbale le même vieux bonnet élimé depuis quelques années et ses jeans sont souvent abîmés aux genoux, mais il a rarement l’air sale. Ses chaussures sont toujours son accessoire le plus récent : il prend bien soin de ses chaussures et n’hésite pas à investir pour une nouvelle paire dès qu’elles commencent à lui faire mal aux pieds. Ce sont toujours des bottes solides et confortables à la fois, parfaite pour la marche prolongée. Les seuls accessoires dont il se pare sont une montre tellement grafignée qu’on la dirait couverte de dessins et une minuscule croix dorée qui pend de son cou par une chaîne de la même couleur.

En somme, il ressemble à un jeune homme un peu en désordre, mais loin d’être menaçant : ses traits fins, son sourire un peu pincé qui lui donne un air gamin et sa voix douce l’aide beaucoup dans ce sens. Sa voix est d’ailleurs un autre élément qui lui attire des commentaires : claire et apaisante, il chante très bien.




À première vue, Hunter a l’insouciance et la maladresse d’un adolescent trouble-fête. Plutôt sociable, mais sélectif, irresponsable, mais craignant les conséquences, il se met souvent les pieds dans les plats et ne sais pas vraiment s’arrêter au bon moment. Cela fait partie de son charme au moins, même s’il touche un nerf sensible de temps en temps. Ce n’est pas spécialement parce qu’il est trop franc : il possède bel et bien un filtre intact entre ses pensées et ses paroles. D’ailleurs, c’est plutôt le contraire : il est très secret, même si son visage est beaucoup plus révélateur. Il dévoile le moins d’informations possible à son propre sujet : son nom est le seul élément qu’il donne sans crainte. Le reste, quant à lui, est bien ranger sous clé au fond de sa tête et cela prend deux cartes d’identités, un scan rétinien, un dépistage sanguin et un test de détecteur de mensonge pour y avoir accès, au compte-goutte. En bref : il est extrêmement dur, voire impossible, d’obtenir sa pleine confiance. Il peut apprécier les gens, aimer se tenir avec eux, mais il sera toujours légèrement sur ses gardes, à attendre une trahison. Pour ces raisons, il est assez indépendant, voire égoïste.

À certains égards, on peut le qualifier de paranoïaque. Ce manque de confiance est l’une des raisons pour laquelle il n’a pas de domicile fixe, changeant régulièrement de quartiers et d’endroit où dormir. Ruelle bien noire, motel miteux, canapé d’inconnu et j’en passe : il n’a aucun endroit qu’il peut appeler chez lui et ça lui convient. Il n’a pas non plus de boulot ou de vraies cartes d’identités : Hunter Lee pourrait aussi bien ne pas exister en Angleterre. Il est seulement un inconnu, naviguant les rues de Londres, laissant ses mains nerveuses attraper portefeuilles, montres, bagues et, parfois, boutons de manchettes pour gagner sa vie comme un bon pickpocket. Quand les temps sont dur ou qu’il s’emmerde, il s’amuse à faire des tours de passe-passe avec de vieilles cartes à jouer, amusant les passants contre quelques pièces de monnaie. Il aime les puzzles et tout ce qui fait réfléchir en général, alors cela l’amuse d’observer les gens essayer de comprendre ses tours de magie.

S’il ne s’en fait pas trop avec l’argent – d’avoir accès au passé et au future apporte une certaine assurance et il ne se serre pas la ceinture pour se fumer quelques pétards – il a, parfois, des attaques de panique envahissantes. Elles le prennent toujours par surprise et dur entre 20 et 45 minutes. Une seule fois, il en a eu une qui a duré près de 24 heures : il voulait mourir.  Une attaque si longue ne lui est plus arrivé par la suite, mais il les craint toujours.    



La vie de Hunter commence avec son grand père, Lee Hyo-Jin, réfugié nord-coréen en Angleterre, convertie à l’Église Anglicane, où il rencontra Martha, sa future femme. De leur union n’est né qu’un seul enfant, une fille. Si le couple voulait qu’elle soit humble, appliquée et polie, elle avait d’autres projets : elle détestait la petite ville où ils étaient, détestait les valeurs de ses parents qu’elle jugeait archaïques et elle a fugué à la capitale à l’âge de 16 ans. Après 2 ans sans nouvelles, elle réapparu comme une fleur, enceinte jusqu’aux yeux.

Et c’est comme cela que Hunter vint au monde, dans une ambiance plus que tendue. Peu de temps après sa naissance, toutefois, sa grand-mère fût victime d’une faiblesse cardiaque. À peine fut-elle mise en terre que sa propre mère reprenait la clé des champs, disparaissant sans même une note, laissant son fardeau à Hyo-Jin.

Lorsque Hunter avait 5 ans, une nouvelle Pasteur fut assignée à leur église locale, le prêtre précédent ayant pris sa retraite. Première femme à la tête de la congrégation, elle apportant beaucoup de nouveautés ; des foires mensuelles, un refuge pour les personnes sans-abris au presbytère et même une chorale pastorale. C’est à ce moment que le petit Hunter appris à chanter. « Tu as la voix d’un ange », lui disait souvent Pasteur Johnson. Il aimait ça.

Jusqu’à ses 11 ans, sa vie se résumait à école, bénévolat, chorale et devoirs. Il serait certainement devenu un homme banal et sans histoire si Hyo-Jin n’était pas mort à ce moment. Mort naturelle, selon le coroner local. Maintenant orphelin, avec sa mère impossible à rejoindre, dieu sait où elle se trouve, tout le village accepta la proposition de Pasteur Johnson : il irait vivre avec elle, au presbytère.

Pasteur Johnson était gentille, bien que stricte, et si la maison était bien trop grande pour eux deux seulement, les fréquents passages de locataires temporaires y mettaient de la vie. Il aimait bien les itinérants de passage et il aimait bien Pasteur Johnson, même si elle le mettait mal à l’aise, parfois.

Ce n’est qu’à l’âge de 14 ans qu’il commença à avoir peur d’elle. Il avait parfois de la difficulté à dormir lorsque le presbytère était vide, et il s’appuyait à sa fenêtre pour regarder les lumières de la ville. Ce soir-là, il vit un homme sans-abri arriver. Il fila hors de sa chambre pour voir s’il pouvait aider, mais s’arrêta en haut des escaliers en voyant que Pasteur Johnson était déjà en train de s’en occuper. Qu’elle était déjà… en train de l’étreindre... qu’il pâlissait à vue d’œil, devenant mou dans ses bras… que son visage était teinté de rouge alors qu’elle traînait le corps vers sa chambre… L’adolescent avait plaqué une main sur sa bouche pour ne pas faire de bruit, le cœur battant, et s’était accroupi dans l’ombre du couloir pour observer la scène du haut de son perchoir sans être remarqué. Que venait-il de se passer?!

Il venait de découvrir, bien malgré lui, que Pasteur Johnson était une vampire. Dans les semaines qui suivirent il s’aperçut que le simple fait de vouloir savoir où elle allait lui provoquait de courtes visions de ses actions futures, que le simple fait de toucher des objets de la maison en se posant des questions sur leur nature lui montrait des scènes du passé et que de souhaiter que ses coupures de cuisine accidentelles cessent de faire mal les refermaient lentement. Il devint de plus en plus curieux, testant ses pouvoirs pour en apprendre plus sur ce qu’était Pasteur Johnson.

Il n’avait pas le droit d’aller dans la chambre de la pasteur et il n’aurait vrai jamais dû y mettre les pieds. Chaque objets était un nouveau cauchemar : des scènes plus violentes les unes que les autres, pleines de rouge et de douleur, tant de visages qu’il a connu, des personnes qu’il ne reverra jamais et il sait pourquoi maintenant, il sait- « Hunter?! » qu’elle s’était exclamée en le voyant. Il était trop faible, étourdi et effrayer pour réagir d’une façon plus naturelle ; il avait peur. Il avait peur d’elle et ça se voyait. Le reste n’est qu’un souvenir assez flou pour le jeune homme, mais la douleur est encore vive : elle l’avait saisi par la gorge et, de coups de talons, lui avait brisé les chevilles. Il se souvient du son, du sang et des bouts blancs perçant la peau. Elle lui avait dit qu’elle s’occuperait de lui plus tard et était sortie sans verrouiller la porte de la chambre : après tout, il ne pouvait pas marcher et la douleur le paralysait…

C’était sans compter sur son pouvoir de guérison. Il a couru. Couru si loin. Ses pouvoirs lui ont montrer où allé: les itinérants qu’il a aidé, auparavant, étaient maintenant ses sauveurs. Ils l’on caché, ils l’ont aidé à s’éloigné, ils lui ont montrer à survivre, à voler, ils l’ont protégé. Éventuellement, il a rencontré d’autres chasseurs et la réalité de ses pouvoirs et des créatures lui fût enfin entièrement expliqué. Il n’est pas certain de son rôle dans tout ça. Il est capable d’observer et d’analyser, mais il ne fait que donner ces informations à d’autres. On lui a appris à se battre – il a, toujours sur lui, un coup de poing américain et un canif affuté – mais il n’a pas envie de se défendre. Il a peur de ce qu’il sait, de ce qu’il voit. Il avait à peine 15 ans lorsqu’il fût à la merci de Pasteur Johnson et il se réveille parfois en sueur, tâtant ses pieds et ses chevilles en panique pour s’assurer qu’ils sont intacts. Il court souvent, seulement pour se rassurer.

Cela fait presque 5 ans maintenant qu’il se promène de ville en ville, sans famille, sans amis, sans attaches.


pouvoirs


Mon pouvoir principal est Restore, et il me permet de guérir les blessures et même de ramener des membres ou des organes perdus sans laissé de cicatrice. Le second est Return, il s'agit de psychométrie ; au prix de beaucoup d’énergie, je peux voir des scènes du passé se rattachant à un objet. Mon troisième et dernier pouvoir se trouve à être Foresee et me permet de voir un aperçu du futur.



derrière l'écran


Je suis UNSTOPPABLE, j'ai 22 ans et j'ai trouvé le forum en plantant de bonnes graines Je trouve qu'il est NEATO et mon niveau d'RP se trouve à être avancé. Mon activité sera d'à peu près {8/10} et le code du règlement se trouve à être vu par kuku bitches.



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