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 i'll never let you go - Jacob S. Reid

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MessageSujet: i'll never let you go - Jacob S. Reid   i'll never let you go - Jacob S. Reid EmptyMer 4 Mai - 14:31


Jacob Samuel Reid



Lavi (D.Gray-man)
Je m'appelle Jacob S. Reid, je suis né le 24 mars 1997 et j'ai 19 ans. Je suis un hunter et j'appartiens à la creed Innocent. Je suis bisexuel et je suis célibataire. Je suis un journaliste et je suis d'origine anglaise.


toi et juste toi



Si l’on essayait de décrire Jacob avec le moins de mot possible, cela donnerait quelque chose comme : « Adulescent en roadtrip gothique ». Avec son style complètement éclectique, il est parfois difficile de savoir par où commencer.

Déjà de naissance, il se démarque du reste de sa famille aux têtes brunes par une chevelure d’un roux vif et des yeux d’un vert éclatant. Contrairement à la majorité des roux qui n’ont que des coups de soleil, lui sa peau pâle devient d’un doré parfait lorsqu’il passe beaucoup de temps dehors. Son visage n’aborde des taches de rousseur que lorsque le soleil les pousse à sortir, mais ses épaules, le haut de son dos et ses hanches en sont toujours couverts. Il a plusieurs petites cicatrices sur le corps, venant trop souvent de chutes maladroites, de fils barbelés ou d’une trop grande proximité avec les créatures qu’il aime observer. Les plus visibles sont celle sur son bras droit, lorsqu’il se l’est fracturé à l’âge de 14 ans, ainsi que celle sous son œil droit, parallèle à celui-ci, reçu au moment où il a perdu ce dernier. En effet, là où devrait se trouver un œil vert se trouve plutôt une cavité dérangeante, souvent comblé par un œil de verre.

Il semble avoir beaucoup hérité de son père, entre autres sa petite taille – du haut de ses 5’6, il dépasse son paternel d’un poil, mais il croise encore les doigts pour devenir plus grand que sa sœur et sa mère avant ses 22 ans, elles-mêmes ne mesurant qu’un 5’8 et 5’7 respectivement. De son père il tient aussi sa posture aux pieds tournés vers l’extérieur lui donnant parfois une démarche de pingouin, une manie de ne jamais se coiffé correctement – ses cheveux mi-longs lui tombent toujours sur le visage : il ne les attaches que lorsqu’il porte ses lunettes – et de grandes mains toujours froides.

Il a aussi une garde-robe répétitive comme son cher papa, mais c’est par manque de fonds et non pas par manque d’imagination. Une gamme variée de t-shirts usés aux références obscures, majoritairement monochromes, trois pulls dont un seul n’est pas (encore) troué, deux jeans (aussi troués), un jogging, deux paires de bottes, juste assez de chaussettes pour tenir une semaine, un manteau une taille trop grande à la capuche de fourrure terni et un cache-œil style pirate lorsqu’il en a marre de son œil de verre et ses lunettes. Arr.

Il est un peu plus imaginatif avec ses bijoux ; plusieurs colliers à breloques, et des boucles d'oreilles de tout genre sont entassés dans une petite boite bien fermé qu'il traîne partout avec lui. Cela sans compter les bracelets de macramés qu’il porte continuellement aux poignets, en plus d’un fait d’icônes religieuses et un autre aux billes colorées, clairement fait par un enfant, épelant le nom « Matt » en billes blanches.  




Jacob est certainement la personne la plus extraverti de Londres. Souriant, confiant et ouvert, il n’a pas de difficulté à aborder des inconnus, que ce soit pour poser une question ou simplement pour discuter. D’une nature chaleureuse, il a tendance à se faire des amis rapidement. Toutefois, il est aussi direct et totalement franc, une combinaison qui peut parfois créer des tensions malgré lui. Il dit rarement des choses négatives, mais certains de ses propos peuvent être mal interprétés alors qu’ils semblaient innocents de son côté. Heureusement pour lui, il est assez démonstratif pour s’en tirer lorsque c’est le cas.

Enthousiaste et dynamique, il s’emballe toujours dès que l’on mentionne l’un de ses intérêts. Comme son intérêt principal est de mettre son nez dans les affaires d’autrui – mort ou vivant – il passe la majorité de son temps à questionner, écouter et parfois, très rarement, espionner. Après tout, il est très impulsif et, malgré son bon caractère, tend parfois à l’égocentrisme.

C’est d’ailleurs son égocentrisme qui l’a mené jusqu’à Londres. Depuis toujours aventureux, il a quitté sa ville natale sur ses maigres économies, très jeune, malgré le désir de ses parents de le voir entrer à l’université. Il adore sa famille, mais il ne peut pas mettre ses désirs de côté pour leur faire plaisir. Sa mère a eu beau lui assurer qu’il aurait amplement le temps de voyager après avoir complété ses études, Jacob est d’une nature impatiente et il est assez courageux pour faire tout ce qu’il veut sur une impulsion, sans vraiment penser aux conséquences.

Cela le pousse souvent à faire des gaffes. Il faut dire que Jacob est encore jeune et manque d’expérience. Avec sa personnalité infantile, il est parfois naïf et est souvent blessé – physiquement et émotionnellement. Malgré sa sociabilité, son amour du voyage l’empêche de créer des liens fort et il se sent plus isolé des êtres humains que du surnaturel.

Bien sûr, en tant que chasseur il est au courant de l’existence des loup-garou et des vampires, ce qu’il adore. Toutefois, en tant que nerd qu’il est, il croit aussi dur comme fer aux fantômes, aliens et autres apparitions. Pour plusieurs de ses ex, c’était l’une des nombreuses choses « enfantines » qu’on lui reprochait. Une autre était son insécurité constante dans la relation ; après tout, il les approchait toujours en premier, avec une confiance en lui à faire pâlir le soleil, mais plus la relation devient sérieuse et plus il se met à questionner, douter, s’inquiéter… Pour lui, sa jalousie passe par le doute. Il faut dire qu’avec ses conquêtes, Jacob est toujours le gamin : il a, en effet, un fétiche des personnes plus âgés. Vraiment, plus âgés. Entre 10 et 20 ans de plus que lui. Il ne sait trop pourquoi, mais il n’a jamais vraiment été attiré par quelqu’un de sa propre génération. Jusqu’à maintenant, par contre, une relation n’a jamais duré bien longtemps.

Mais il est jeune et a encore du temps devant lui. Non pas qu’il accorde une grande importance à la vie : il n’a pas peur de la mort, n’a pas d’attachement particulier au monde des vivants et se demande, parfois, ce qu’il fait encore là. Il est loin d’être suicidaire, mais il se sent parfois coupable d’être en vie, particulièrement lorsqu'il est forcé de blesser ou d'éliminer une autre personne. Ce n’est pas étonnant, alors qu’il prenne autant de décisions imprudentes et côtoie de si près, sans craintes, des créatures cent fois plus puissantes que lui. Il se sent aussi coupable envers les autres de ne pas faire plus attention à lui-même ; c’est probablement pourquoi il appel sa famille au moins une fois par semaine et leur envoie des tonnes de cartes depuis les endroits qu’il visite. Il ne voudrait pas être un mauvais souvenir, mais il veut aussi être libre.

Si on doit tous mourir un jour, autant le faire en s’amusant.  



Jacob Reid devait avoir une vie bien différente. Né dans la classe moyenne haute, dans la belle ville de Carlisle, le deuxième enfant d’une famille aimante – maman Lauren, papa Thomas, sa grande sœur Emma et ses petites frères Matthew et Peter – avec un quotient intellectuel légèrement plus élevé que la moyenne, il fût l’un de ces petits génies qui sauta une année d’école : la troisième du primaire, pour être précis. Il était même en voie de sauter la dernière également, pour aller directement au secondaire à l’âge de 10 ans, mais c’est cette année que son destin qui semblait tout tracé fût radicalement dévié.

Ça a commencé avec son petit frère, Matthew ; il est tombé malade, soudainement. Le diagnostic fût un coup de poing au cœur de la famille : une leucémie agressive. C’était difficile à comprendre, pour Jacob. Ses parents étaient toujours à l’hôpital et sa sœur devait s’occuper de la maison. C’était une atmosphère tendue que le rouquin n’arrivait pas à supporter : il passait alors la majorité de son temps au parc, quitte à se faire réprimander par sa sœur lorsqu’il rentrait trop tard à son goût. C’est là qu’il a rencontré Winston.

Winston est un chien errant que Jacob voyait souvent en ville. Un beau husky gris – presque comme un loup, il avait pensé la première fois, mais c’est impossible, en ville, non? – qui l’a approché : il pleurait, à ce moment, caché derrière des arbustes. Il déteste pleurer en public. Il a tout de suite aimé le chien et l’a baptisé Winston, le nom de son personnage animé favoris. Il est vrai de dire qu’il s’agissait de son seul réconfort à ce moment. Il se laissait flatter et cajoler, le regardait lorsqu’il parlait, comme s’il l’écoutait réellement.

Il se souvient comme si c’était hier du soir de son awakening. Il rentrait du parc en vélo, le ciel était noir et il pensait déjà aux reproches qu’allait lui faire Emma. Du coin de l’œil, il aperçut la fourrure grise de Winston se glisser dans une ruelle. Sur le moment, il n’a pas du tout remarqué la taille gigantesque de la chose s’étant déplacé à la périphérie de sa vision. Il a stoppé immédiatement, l’appelant, sans le voir revenir. Il n’a même pas pris le temps d’appuyer son vélo quelque part ; il l’a laisser tomber avant de filer dans la ruelle lui aussi.

Il a vu un garou sous forme crinos pour la première fois cette nuit-là, à onze ans à peine. La créature se tenait de dos à lui, immense – un géant! – et Jacob ne ressentit aucune peur. Il était ébahi, s’approchant tranquillement, comme en transe, un sourire émerveillé aux lèvres. Lorsqu’il y repense, le rouquin se souvient du souffle rapide de la bête et de sa posture défensive, visible même de dos, mais il n’avait pas d’expérience à l’époque. C’est pourquoi il s’exclama « Winston? » d’un ton jovial, ce qui surpris la bête : elle se retourna d’un bloc, balançant une patte immense à l’aveugle, prêt à se défendre. Elle qui pensait frapper un chasseur toucha plutôt la tête du gamin. Il fût chanceux ; il ne fût touché que par les griffes, s’enfonçant dans sa pommette, son œil et son sourcil à la vitesse de l’éclair. La douleur fût fulgurante et il tomba au sol, foudroyé, mais au moins il ne s’est pas pris l’impact complet contre la tête ; s’aurait pu lui être fatale.

Il pense que la créature s’est approché brièvement, mais les chasseurs qui étaient à ses trousses ont été alertés par les cris de douleur de l’enfant et la bête à dû fuir de nouveau. C’est un des chasseurs – Joseph – qui l’a amené à l’hôpital.

Son œil fût trop endommagé pour être sauvé, mais ce n’était pas une grande perte pour Jacob. Il parlait avec excitation du loup-garou qu’il a vu, mais les adultes ont mis cette histoire sur le choc de l’attaque. Si pour ses parents c’était une dose de stress supplémentaire, pour son frère Matthew c’était un grand soulagement : son grand frère a passé deux semaines avec lui à l’hôpital. Jake lui racontait des histoires alors que Matthew aidait ce premier à retrouver son équilibre et sa proprio-perception en préparant des parcours à obstacle dans leur chambre. C’est à moment qu’ils ont fait des bracelets, dans une activité organisée par les infirmières pour les enfants. Ils ont chacun fait un bracelet épelant leurs surnoms – Jake et Matt – qu’ils se sont échangés au moment où Jacob obtint son congé de l’hôpital.  

Quelque jours après son retour à la maison, deux personnes sont venus frapper à la porte. L’une d’elle était Joseph. L’autre était Willow : une belle grande blonde faisant partie de la creed des innocents. Elle était associée depuis quelques années à Joseph et son frère : elle recueillait des informations sur des créatures pour eux. Ils voulurent lui expliquer pourquoi ils chassaient ce garou, cette nuit-là, mais le gamin ne voulu pas savoir : pour lui, cette créature avait été un ami et il se disait que si elle avait fait une chose valant son élimination, c'était certainement pour des bonnes raisons. Willow approuva cette façon de penser. C’est elle qui appris à Jake tout ce qu’il avait à savoir sur la discrétion, la collecte d’information, l’entrainement et elle fût l’un de ses premiers amours. Un autre de ces premiers amours était Joseph, qui lui percevait d'un mauvais oeil l'idéologie du garçon ; il lui a appris le combat et la défense. À 12 ans, Jacob aurait pu jongler avec des couteaux et égorger quelqu’un assez rapidement pour ne pas perdre le rythme, mais il n’était pas intéressé par la violence. Après tout, les créatures l’intrigue au plus haut point.

Il allait avoir 13 ans dans quelques mois lorsque Matthew est décédé. Jacob rêve encore du cercueil se fermant lentement et des billes formant son nom au poignet blanc de son petit frère. Jusqu’à ce jour, il a encore le sentiment qu’il aurait dû être celui étendu dans ce cercueil.

Son entourage a bien remarqué un changement dans son attitude par la suite, mais le garçon refusait d’en parler.  Il a continué à obtenir d’excellentes notes à l’école, est resté un jeune homme extraverti et s’est même mit à écrire des documents journalistiques de ses folles histoires surnaturelles, alors on a cessé de lui poser des questions également. Il semblait bien aller, malgré tout.

Willow, Joseph et son frère quittèrent la ville lorsqu’il avait 14 ans, lui faisant amèrement regretté de ne jamais avoir essayer de déclarer sa flamme à l’un d’eux. C’est pourquoi il n’hésita pas par la suite. Il sortit pendant 8 mois avec un garçon de 17 ans lorsqu’il en avait 15 et pendant 1 ans avec une amie de sa sœur, âgée de 19 ans, par la suite.

C’est également lorsqu’il avait 15 ans qu’il a appliqué pour un emploie de chroniqueur pour le magazine de paranormal « Ghastly Montly ».  Vu son talent rédactionnel et sa « grande imagination » - il raconte des observations réelles, pourtant – il fût accepter comme rédacteur à temps partiel. C’est en lien avec ce travail qu’il commença à voyager hors de la ville pour explorer des lieux supposément hantés.

À 16 ans, une semaine après avoir rompu avec sa copine, il déclara à ses parents vouloir partir explorer le Royaume-Uni, seul. Après une longue discussion de plusieurs jours et un débat farouche, il atteint une entente avec ceux-ci : il ne pourra partir qu’après avoir gradué, il doit absolument les contacter 4 fois par semaines pour les rassurer, doit leur dire clairement où il se trouve lorsqu’il change d’emplacement, doit revenir à la maison s’il manque de fond et doit faire une demande d’admission à l’université avant ses 20 ans.

C’est ainsi que deux jours après avoir obtenu son diplôme, il sautait dans le train pour l’Écosse. Depuis, il est rentré chez ses parents pour un maximum de 8 jours, en visite de temps en temps. Il voyage de villes en villes, en faisant majoritairement du pouce pour économiser, dormant à la belle étoile ou dans des lieux publics. Il eut un moment creux, lorsqu’il avait 17 ans, et se créa un compte sur le site web SweetSugarPairings.com, un réseau social pour sugar daddy et mommy : pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable ? Il peut compter sur ses doigts le nombre d’entre eux avec qui il a couché, mais il a eu beaucoup plus de rendez-vous que cela.

Il a cessé d’aller à ces rencontres lorsqu’il se fit une copine de 10 ans de plus que lui. Il passa plusieurs semaines chez elle, et tout semblait bien aller, mais lorsqu’il mentionna vouloir partir explorer une ville où il y aurait eu une rencontre du troisième type, elle lui lança une tirade véhémente sur le fait qu’il devait grandir un peu et choisir entre une vie stable avec elle ou ses histoires idiotes.

Alors il se retrouva sur la route de nouveau ce soir-là, avec son sac de voyage et son chat. Oui, parce qu’il a un chat malgré son statut de vagabond ; une jolie chatte calicot dénommée Sunshine qu’il a un jour trouvé dans une boite, dans une ruelle et qu’il a immédiatement adopté. Lié à lui par une laisse extensible attachée à son harnais, elle marche à côté de lui ou s’étends sur ses épaules, entre son sac et son cou. Ils ont fait beaucoup de chemin ensemble.

Jake a 19 ans. Les règles de départ avec ses parents se sont relaxés depuis et bien qu'il ne les appels plus 4 fois par semaines, ils gardent contact régulièrement. C’est sa première fois à Londres et il a l’intention de rester pour un bon moment : il a entendu dire que c’était l’endroit le plus surnaturel d’Angleterre et il a l'intention de l'explorer de fond en comble.    


pouvoirs


Mon pouvoir principal est Hide, il me permet d’être ignoré par les créature ou de disparaitre complètement à la vue de celles-ci. Le second est Fool’s luck, et il me permet d’ échapper à une calamité ou de fuir à la vitesse de l’éclair en faisant simplement le symbole de paix avec mes doigts. Mon troisième et dernier pouvoir se trouve à être Iluminate et me permet de repérer les créatures surnaturelles d'un regard, mais m’expose à elles également.



derrière l'écran


Je suis Adee, j'ai 21 ans et j'ai trouvé le forum once again Je trouve qu'il est dank af yo et mon niveau d'RP se trouve à être intermédiaire. Mon activité sera d'à peu près {8/10} et le code du règlement se trouve à être vu par Coma.



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